L’efficacité et la tolérance du paracétamol sont déterminées par la biodisponibilité du médicament (1) ainsi que par son excrétion (2). Pour les patients atteints d’insuffisance rénale ou d’insuffisance hépatique, la dose de paracétamol doit être réduite par rapport à la dose recommandée chez les patients présentant des troubles hépatiques modérés.
Prescription
Aucune mesure supplémentaire n’est nécessaire chez les patients présentant des troubles hépatiques modérés.
Posologie
Toute personne atteinte de troubles hépatiques modérés doit être traitée avec la même dose quotidienne que celle prescrite pour les adultes (3000 mg par jour).
Chez les patients présentant des troubles hépatiques modérés et prenant des médicaments antiviraux, la posologie doit être ajustée à la réduction du taux d’absorption de la drogue.
Chez les patients atteints d’insuffisance rénale et recevant des doses supérieures à 3 g par jour, la posologie doit être réduite de 25 %. Chez les patients atteints d’insuffisance rénale, la posologie doit être ajustée en fonction de la clairance de la créatinine (Clc).
Le paracétamol est généralement efficace, mais peut entraîner une augmentation du risque de réactions indésirables gastro-intestinales telles qu’une hémorragie gastro-intestinale.
Si les effets indésirables gastro-intestinaux sont sévères ou s’accompagnent d’autres symptômes tels que nausées, vomissements, douleurs abdominales, diarrhée, coloration jaune de la peau et des yeux, vertiges, évanouissements, jaunisse et démangeaisons, la dose doit être réduite à 1 g par jour, la dose peut être réduite à 500 mg par jour, la dose peut être réduite à 250 mg par jour. Si les symptômes gastro-intestinaux persistent, les patients doivent être surveillés étroitement jusqu’à ce que le médicament soit complètement arrêté. Les patients ayant une maladie hépatique doivent consulter leur médecin pour ajuster leur posologie.
La prise de paracétamol pendant plus de 5 jours par an est associée à un risque accru de lésions hépatiques.
La prise de paracétamol ne doit pas dépasser 8 g par jour pendant 5 jours.
Les patients doivent être surveillés pour une éventuelle surdose de paracétamol. Si une surdose de paracétamol est suspectée, il doit être interrompu et la prise de paracétamol doit être interrompue immédiatement.
Après une prise répétée de paracétamol, le risque de lésions hépatiques graves augmente de 18 fois. Chez les patients prenant de fortes doses de paracétamol, une augmentation des concentrations plasmatiques de lactate déshydrogénase est observée.
L’administration concomitante de phénytoïne peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de paracétamol et du phénobarbital, qui sont susceptibles d’être à l’origine d’effets indésirables.
Les patients doivent être informés que l’administration concomitante de phénytoïne peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de paracétamol. La co-administration de phénytoïne et de paracétamol est déconseillée.
La prudence s’impose en cas d’administration concomitante de phénytoïne.
Les patients doivent être informés que l’administration concomitante de phénytoïne et de paracétamol peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de lactate déshydrogénase.
La prudence s’impose en cas d’administration concomitante de phénytoïne et de paracétamol.
Une dose excessive de paracétamol peut entraîner une augmentation de la toxicité du paracétamol et une augmentation des effets indésirables gastro-intestinaux.
Des cas de surdosage de paracétamol chez des patients ayant reçu des doses de 5000 mg ou plus par jour ont été rapportés.
Chez les patients présentant des symptômes de surdosage, l’administration de doses de paracétamol supérieures à 1 g par jour ne devrait pas être recommandée.
La prise de paracétamol n’est pas associée à une augmentation des effets indésirables hépatiques potentiellement mortels.
Chez les patients atteints d’insuffisance hépatique, une dose initiale de paracétamol est recommandée, car une dose de 5000 mg par jour ne doit pas être utilisée (4).
La prise de paracétamol doit être interrompue si le taux sanguin de paracétamol atteint 80 mg / dl (0,8 mg / kg) ou plus.
Le taux de clairance du paracétamol est directement proportionnel à la clairance de la créatinine.
Chez les patients recevant une dose de 3 g par jour, la dose doit être réduite de 25 %. Chez les patients recevant une dose supérieure à 3 g par jour, la dose doit être réduite de 25 %. La dose peut être réduite à 1 g par jour, la dose peut être réduite à 500 mg par jour, la dose peut être réduite à 250 mg par jour.
La clairance du paracétamol est réduite chez les patients atteints d’insuffisance rénale sévère.
Les patients présentant une insuffisance hépatique grave doivent être surveillés étroitement jusqu’à ce que le médicament soit complètement arrêté. Les patients présentant une insuffisance hépatique doivent être surveillés étroitement jusqu’à ce que le médicament soit complètement arrêté.
Le risque de surdosage de paracétamol augmente chez les patients atteints d’insuffisance hépatique grave et les patients présentant une insuffisance hépatique modérée.
Il n’y a pas de consensus parmi les experts concernant la dose minimale efficace de paracétamol dans les patients présentant une insuffisance hépatique modérée.
Le risque de surdosage de paracétamol chez les patients atteints d’insuffisance hépatique sévère est élevé.
En outre, dans les patients présentant une insuffisance hépatique modérée, il n’y a pas de consensus quant à la dose minimale efficace de paracétamol.
L’administration de doses supérieures à 3 g par jour ne devrait pas être recommandée.
Les patients atteints d’insuffisance hépatique sévère peuvent être traités par administration intraveineuse de paracétamol ou de solution saline isotonique.
Les patients présentant une insuffisance hépatique modérée doivent être traités avec une dose maximale quotidienne de paracétamol.
Le risque de surdosage de paracétamol chez les patients atteints d’insuffisance hépatique modérée est élevé.
Une administration intraveineuse de paracétamol ou de solution saline isotonique peut être nécessaire.
Une administration concomitante de phénytoïne et de paracétamol est déconseillée.
Le risque d’augmentation des concentrations de phénytoïne peut être augmenté en cas d’administration concomitante de paracétamol.
Une administration concomitante de paracétamol et de phénytoïne peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de phénytoïne. L’utilisation concomitante de paracétamol et de phénytoïne est déconseillée.
L’administration de doses élevées de paracétamol peut entraîner une augmentation des concentrations plasmatiques de phénytoïne.